Les stocks donnent la possibilité de contrôler les flux et de limiter les consommations. La gestion des stocks a été longtemps étudiée pour définir les techniques permettant de bien l’accorder aux besoins de la société. Elle a un impact important sur la trésorerie de la société.

La gestion de stocks nécessite un bon équilibre

La gestion de stocks constitue un travail décisif pour la majorité des PME. Si vous n'arriverez pas à livrer la commande dans les dates fixées, vous pouvez diminuer la marge d'erreurs et accroître votre rendement, en utilisant un logiciel adapté. Lorsqu'il y a une meilleure gestion de stocks en flux tendu, on peut alors avoir accès immédiatement en cas de besoin de marchandises, produits finis, matières, produits intermédiaires ou encore plusieurs fournitures différentes. Pour une bonne gestion de stocks, votre magasin doit constamment constituer beaucoup de marchandises pour ne pas faire patienter les clients. Or, un stock exagéré n'est pas aussi enviable puisque cela peut avoir un impact sur la trésorerie. Alors, il est préférable de trouver le bon équilibre pour un meilleur résultat.

Les risques en cas de mauvaise gestion de stocks

Il y a le surstockage, c’est quand le prix est élevé comme les coûts des logistiques par exemple ou à cause d’un risque de désuétude. Il y a également le sous-stockage, qui entraîne l’arrêt de la production, une pièce non disponible pendant la vente.

Pour cela, on peut dire qu’une entreprise a besoin d’avoir une bonne gestion de stocks afin de bien fonctionner. En effet, la gestion de stocks dépend beaucoup de deux éléments fondamentaux : la quantité et la date de la commande. Cependant, on peut commander à date variable ou à date fixe. C’est pareil pour la quantité commandée, elle peut être soit fixe, soit variable. En se basant sur ces deux éléments, il existe quatre démarches possibles. Elles se rapportent à plusieurs techniques de gestion.

Les techniques de gestion de stocks

En premier lieu, il y a la technique de réapprovisionnement, appelée aussi méthode calendaire, consistant à faire une commande à date fixe une quantité fixe, proche de la quantité économique de commande, c’est la formule QEC ou formule de Wilson. Il y a ensuit, la technique de gestion à point de commande. C’est commander à date variable, une quantité fixe dès lors qu’on atteint un niveau fixé de stock ; le point de commande. C’est ce qui suscite la commande de réapprovisionnement. Il y a la technique de recomplètement. C’est de faire une commande à date fixe une quantité variable car le niveau de stock à complémenter dépend de la quantité de vente au moment où la date reste inchangée. Et enfin, la technique de réapprovisionnement à la commande, qui consiste à commander une quantité variable, à date variable selon la demande.